Quand l’Amazone prend les couleurs de la nuit ,
ne subsiste du vacarme diurne que la vibration des insectes
aux rares points de lumière…
L’univers émeraude se dissout dans l’ombre
et le miroir liquide scintille des derniers feux du couchant..
Alors on savoure l’instant….
l’ineffable plaisir d’avoir changé de monde.
Amazonie 1973
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